Le Comité pluridisciplinaire des artistes auteurs (CAAP) avait mandaté PINCENT AVOCATS afin de contester le décret 2020-1095 du 28 août 2020 fixant notamment la composition du Conseil d’administration de l’organisme de gestion du régime de sécurité sociale des artistes-auteurs.

Il était reproché au pouvoir réglementaire d’avoir permis que les organismes de gestion collective (type SACD) siègent au Conseil d’administration en qualité de représentants des artistes-auteurs affiliés.

Le Conseil d’Etat annule l’article du décret litigieux en confirmant que la Ministre de la Culture ne pouvait pas autoriser une telle immixtion des OGC dans la gestion du régime de sécurité sociale alors que la loi ne le prévoyait pas.

PINCENT AVOCATS défend depuis une date récente les artistes auteurs contre l’AGESSA qui, selon son propre aveu, a failli pendant plusieurs décennies en ne traitant pas la protection vieillesse de 190.000 artistes auteurs.

Dans un arrêt à la motivation impeccable, la Cour d’appel de Nancy juge désormais que la contestation directe du relevé de carrière, même lorsqu’il comporte des « trous », est recevable.

Deux pourvois en cassation sont en cours contre les deux arrêts rendus antérieurement par cette même Cour d’appel qui déclarait alors irrecevable l’action lorsque la caisse de retraite avait omis de renseigner les droits acquis, ce qui revenait à la récompenser de sa carence puisque l’obligation d’information légale pesant sur elle lui impose de renseigner les droits acquis au fil de la carrière professionnelle.

Trois arrêts de la Cour d’appel de Lyon jugent non prescrites les actions civiles intentées par PINCENT AVOCATS contre les conseillers en gestion de patrimoine (CGP) et leurs assureurs dans l’affaire ARISTOPHIL.

La Cour d’appel confirme ainsi trois jugements rendus par le Juge de la mise en état du Tribunal Judiciaire de Saint-Etienne.

Il s’avère que la Cour d’appel de Lyon s’était prononcée dans un dossier équivalent en 2021, mais en donnant la réponse inverse (action prescrite et donc irrecevable).

PINCENT AVOCATS vient de plaider ce type de dossiers devant les Cours d’appel de Bordeaux et de Caen.

Au programme dans les semaines à venir : Cours d’appel de Riom, de Besançon, de Toulouse, de Nîmes, etc.

Les Pôles Sociaux de Reims et de Rennes ont condamné la CIPAV à rectifier les points de retraite complémentaire d’auto-entrepreneurs.

PINCENT AVOCATS défend un millier d’entre eux.

En juillet et août 2021, PINCENT AVOCATS a effectué plus de 400 saisines de Tribunaux dans toute la France.

PINCENT AVOCATS obtient deux nouvelles condamnations de la CIPAV à des reconstitutions de carrière gratuites en réparation des erreurs d’affiliation de la CREA, caisse de retraite disparue en 2004.
Une condamnation obtenue à Lyon prévoyant en outre une indemnisation au titre du préjudice moral à hauteur de 5.000 €.
Et une condamnation à Nancy.

Dans 9 arrêts, la Cour d’appel valide les condamnations prononcées par le Juge des référés du Tribunal de commerce de Paris en janvier et février 2021.

Les clients de PINCENT AVOCATS obtiennent un total de 700k€ qu’il faut toutefois recouvrer.

A Dunkerque, sur citation directe, PINCENT AVOCATS fait condamner un CGP pour exercice illégal de la profession de CIF (conseil en investissements financiers).

Il avait commercialisé des produits MARANATHA sans disposer des habilitations requises.

Condamnation à 12 mois d’emprisonnement dont 6 avec sursis.
Les trois parties civiles obtiennent chacune une indemnisation de 30.000 €.

ALTIPIERRE est le nom d’un Groupe de sociétés ayant conçu une offre d’investissements suffisamment douteuse pour que l’un de ses dirigeants soit actuellement en détention provisoire avec à la clé une saisie pénale de 2,5M€ en crypto-monnaie.
PINCENT AVOCATS a été choisi pour défendre la principale association de défense des investisseurs dénommée ALTIPIEGE. Les interventions concerneront aussi bien le volet pénal que les responsabilités civiles des intermédiaires.
Avocats en charge : Dimitri Pincent, Marine Gueudré, Julia Lambertini.

La Cour d’appel de Nîmes confirme le manquement au devoir de conseil et d’information d’un CGP dans sa commercialisation des produits ARISTOPHIL.

L’indemnisation s’établit à 39% du montant des investissements.

Les condamnations seront à régler par l’assureur.

L’indemnisation des frais d’avocat au titre de l’appel a été fixée à 15.000 € pour 5 personnes.

Seule la Cour d’appel de Riom avait précédemment condamné un CGP dans ce dossier ARISTOPHIL.

La Cour d’appel de Saint-Denis de la Réunion avait déclaré irrecevable la contestation d’un indépendant libéral affilié à la CIPAV.

La Cour de Cassation rappelle le régime processuel applicable imposant à la Commission de recours amiable de la CIPAV d’adresser un récépissé de recours au réclamant sous peine d’inopposabilité du délai de contestation devant le Pôle Social.

Retour du dossier à la Cour d’appel autrement composée avec indemnisation de frais d’avocat de 3.000 €.