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MARNE ET FINANCE (ICBS) : 525.000 € de condamnations obtenues par PINCENT AVOCATS

PINCENT AVOCATS aura dégainé le premier devant le Tribunal de commerce de Paris et obtenu gain de cause pour une dizaine d’investisseurs particuliers dans un délai inférieur à un mois.

Par six ordonnances de référé, une dizaine d’investisseurs ayant placé leur argent sur le produit ICBS conçu par la société MARNE ET FINANCE a obtenu des condamnations financières à hauteur de 525.000 €.

La société MARNE ET FINANCE avait également conçu le produit d’investisement BIO C BON (BCBB).

PINCENT AVOCATS défend les particuliers investisseurs des produits d’investissement ICBS et BCBB et conseille avec le Cabinet PDGB https://pdgb.com/fr/ l’association C’PABON https://www.cpabon.fr qui réunit 250 investisseurs plaignants. 

AUTO-ENTREPRENEURS : nouvelle victoire à Troyes

Une pensionnée gagne à Troyes contre la CIPAV.

Rectification des points de retraite, dédommagement au titre du préjudice moral et des frais d’avocat, avec exécution provisoire.

Appel immédiat de la CIPAV.

L’action dénommée « CIPAV AE » est organisée par PINCENT AVOCATS au travers du site dédié https://ae.pincent-avocats.com

Elle réunit actuellement près de 900 plaignants, fédérés par PINCENT AVOCATS.

BIO C BON / MARNE ET FINANCE : procès intentés en urgence pour les investisseurs ICBS

PINCENT AVOCATS a intenté le premier les actions civiles contre MARNE ET FINANCE et ses sociétés supports dans le cadre de la défense de plusieurs particuliers ayant investi sur le support ICBS.

Les audiences devant le Tribunal de commerce de Paris se déroulent depuis le 8 janvier 2021. Les plaidoiries des différents dossiers sont fixées en janvier, février et mars.

 

Nanterre : nouvelle condamnation d’un expert-comptable pour un oubli d’affiliation

Un expert-comptable qui ne se rend pas compte de l’absence d’affiliation de son client professionnel libéral engage sa responsabilité professionnelle.

Le préjudice – perte de droits à la retraite – doit être évalué dans le cadre d’une expertise judiciaire.

ARISTOPHIL : les banques ne sont pas inquiétées

Environ 2.000 investisseurs ARISTOPHIL cherchent depuis 2015 à engager la responsabilité de plusieurs établissements bancaires teneurs des comptes de la société ARISTOPHIL.

Dans plusieurs ordonnances rendues il y a quelques jours, deux Juges de la mise en état du Tribunal judiciaire de Paris estiment que les plaignants ne peuvent pas renverser la charge de la preuve en sollicitant de chaque banque mise en cause la preuve de son encaissement effectif des chèques de souscription.

Ainsi les demandes de communication de pièces des plaignants formées à l’encontre des banques adversaires sont rejetées et les demandeurs condamnés à verser un total de 60.000 € d’indemnités de procédure aux défendeurs.

Les promoteurs de cette action judiciaire contre les banques, en particulier les Conseillers en gestion de patrimoine (CGP), avaient présenté cette action comme une alternative à l’action pénale dirigée contre les concepteurs de l’investissement et à l’action en responsabilité professionnelle des CGP au titre d’un éventuel manquement au devoir de conseil et d’information.

ARISTOPHIL : nouvelle condamnation d’un CGP

Par un jugement implacable de 25 pages rendu en date du 30 novembre, le Tribunal judiciaire de Privas (Ardèche) a condamné un conseiller en gestion de patrimoine et son assureur à payer à deux investisseurs ARISTOPHIL la totalité du capital perdu.

Au titre du préjudice moral, ils obtiennent chacun 1.500 €.

Et un dédommagement de frais d’avocat de 5.000 €.

Les sommes sont payables en dépit du probable appel (exécution provisoire ordonnée).

C’est la condamnation la plus élevée d’un conseiller en gestion de patrimoine connue à ce jour dans l’affaire ARISTOPHIL.

 

Record sur un dossier AE à Versailles

La Cour d’appel de Versailles a statué pour la troisième fois pour un auto-entrepreneur.

Le bilan est lourd pour la CIPAV :

– rectification des points de retraite complémentaire,

– 6.000 € de dommages-intérêts pour préjudice moral,

– 3.000 € d’indemnité de procédure au titre de l’appel.

Record à battre !

CIPAV AE : 14 condamnations obtenues en moins d’un mois

Record à battre ! 100% de succès et 14 victoires donc, en moins d’un mois.

PINCENT AVOCATS a en effet obtenu 14 décisions, toutes favorables, de rectification des droits à la retraite CIPAV d’auto-entrepreneurs libéraux.

2 décisions de Cours d’appel : Besançon (avec 6.000 € de dédommagement accessoire) et Versailles (9.000 € de dédommagement acessoire ; record actuel).

Et des décisions de 4 Pôles Sociaux de Tribunaux Judiciaires : Tours (2), Toulouse (4), Montpellier (5) et Paris (1).

Certains jugements multiplient par 6 ou 7 les points de retraite complémentaire.

 

Le non-sens d’une condamnation d’un employeur à une remise de bulletins de paie en série

La Cour d’appel de Rennes avait condamné un Groupe français défendu par PINCENT AVOCATS à remettre à un ancien salarié autant de bulletins de paie rectifiés que de rappels de salaires ordonnés, qui étaient nombreux.

Le Groupe avait émis un unique bulletin de paie, ce que lui reprochait l’intéressé qui voulait une application rigoriste de la décision de la  Cour d’appel. Il saisissait donc le Juge de l’Exécution d’Aix en Provence pour solliciter et effectivement obtenir une astreinte.

L’appel mené par PINCENT AVOCATS a porté ses fruits car la Cour d’appel, revirant sur le sujet, a estimé que cette multiplication des bulletins de paie n’avait aucun sens.

La Cour a donc supprimé l’astreinte et sanctionné l’ancien salarié qui pensait avoir trouvé une source de revenus complémentaires dans ces astreintes, en lui demandant de prendre en charge les honoraires de la société défendue par PINCENT AVOCATS (fixés à 3.000 €).

ARISTOPHIL CGP : décision à Bordeaux sur la prescription

Selon leur technique habituelle, les CGP/CIF et leur assureur soutiennent qu’il aurait fallu agir dans les 5 ans de la souscription au produit d’investissement se révélant toxique.

PINCENT AVOCAT a obtenu trois décisions à Cusset et une à Bordeaux en octobre et novembre rejetant cette thèse.

Prochaines décisions attendues : Vesoul, Lisieux, Toulouse, etc.