Record battu à Paris : écrasement de 52.000 € de cotisations, avec indemnisation de l’adhérent à hauteur de 2.000 €.
Actualités
TASS de Blois : converti à l’annulation des contraintes de la CIPAV
JEX de Paris : liquidation d’astreinte record contre la CIPAV
La CIPAV rechigne à communiquer à un adhérent son relevé individuel de situation.
Mal lui en a pris : le Juge de l’Execution de Paris a condamné la Caisse à lui verser la somme de 22.500 € à titre de liquidation d’astreinte.
Pour contrecarrer l’attentisme de la Caisse, le Juge passe la nouvelle astreinte journalière de 250 € à 400 €.
Y aura t-il lieu de liquider cette nouvelle astreinte ?
Les lignes bougent au TASS de Nanterre !
C’est la révolution au TASS de Nanterre dans les dossiers CIPAV.
Force est aujourd’hui de constater que ce TASS :
– régularise les cotisations de retraite complémentaire sur la base du revenu réel,
– annule les contraintes pour défaut de motivation,
– condamne en référé par provision au paiement d’arrérages de pension de retraite complémentaire en présence d’une dette de cotisations prescrite sur ce régime.
Au grand dam de la CIPAV !
TASS de Saint-Etienne : annulations de contraintes en perspective
Le TASS de Saint-Etienne n’a pas tremblé : lui aussi annule pour défaut de motivation des contraintes de la CIPAV.
TASS de Caen : carton plein
4 jugements portés par PINCENT AVOCATS devant le TASS de Caen sur oppositions à contraintes de la CIPAV (dont trois repris en cours de procédure).
Au final, 4 jugements d’annulation de contraintes, y compris pour l’opposition formée par le client avec un mois de retard.
TASS de Pontoise : contrainte CIPAV annulée pour 55.000 € de cotisations
PINCENT AVOCATS développe son activité contre le RSI
Le contentieux de masse contre la CIPAV développé par PINCENT AVOCATS conduit à défendre de plus en plus de cotisants du RSI (anciennement RSI désormais), c’est à dire des commerçants ou des dirigeants de sociétés ayant une activité non pas à caractère libéral mais commercial.
Si vous êtes affiliés à l’ex RSI et avez des difficultés avec cette caisse (contrainte, liquidation de pensions, etc.), vous pouvez sereinement saisir PINCENT AVOCATS pour votre défense.
La CIPAV triche sur la RC des 380.000 auto-entrepreneurs : le TASS de Paris l’affirme aussi !
Après la Cour d’appel de Versailles en mars 2018 (confirmant la position du TASS de Pontoise), c’est au tour du TASS de Paris de reconnaître, par deux jugements du 14 mai 2018 portés par PINCENT Avocats en présence du Défenseur des Droits, que la CIPAV a minoré fautivement les points de retraite complémentaire (RC) des auto-entrepreneurs en les divisant la plupart du temps par trois.
Sous exécution provisoire, la Caisse est donc condamnée à rectifier les points de deux auto-entrepreneurs dans un délai d’un mois, ce qui majorera d’autant la pension de retraite complémentaire à leur servir le moment venu. La CIPAV est par ailleurs condamnée à leur verser en sus à chacun une indemnisation de 2.500 €.
Chacun des 380.000 auto-entrepreneurs devrait demander en justice cette rectification s’il veut un jour bénéficier d’une pension de retraite conforme à ses droits et non pas divisé par trois.
PINCENT Avocats est le seul Cabinet d’avocats en France à avoir identifié ce manquement de la CIPAV, étrangement cautionné par l’Etat, et à avoir lancé ces actions judiciaires.
Aussi étrange que cela puisse paraître, les syndicats des auto-entrepreneurs tels que la Fédération des auto-entrepreneurs ne s’intéressent pas à la défense de leurs membres sur ce point.
TASS de Versailles : la CIPAV ou l’arroseur arrosé
La CIPAV a signifié à un cotisant une contrainte au titre de l’année 2009 alors que le cotisant avait réglé la somme réclamée.
Par un jugement de mai 2018, le TASS de Versailles a non seulement annulé la contrainte pour sa discordance avec la mise en demeure préalable et condamné la Caisse à une indemnisation de 2.000 € mais encore ordonné le remboursement d’un trop versé de cotisations sur le régime complémentaire par l’effet d’une régularisation omise par la Caisse.
La CIPAV voulait recouvrer près de 15.000 € de cotisations et au final elle se retrouve condamnée à verser au cotisant, avec exécution provisoire, une somme d’environ 7.000 € !